Envie de développement durable?

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La sauvegarde de la planète prend, ces temps-ci, des tournures franchement étranges. A force d’excès insensés, de plus en plus de … terriens ont décidé de préserver leur planète. Avec parfois des modes opératoires un peu fous.

Prenez cette citoyenne britannique, dont Le Monde dressait le portrait hier, Joan Pick. Elle a décidé, il y a plus de trente ans, qu’elle ne polluerait plus la planète. Qu’elle vivrait comme Cro Magnon ou Néanderthal, sans consommer – ou presque – d’énergie: plus de bains chauds, plus de tranports motorisés, 8 euros par mois en dépenses d’électricité, pour s’offrir, ô suprême luxe, sa tasse de thé quotidienne. Plus de frigo, plus de cuisinière, des graines et des pousses pour seul quotidien. Certes, cette vie d’ascète ne lui a pas permis de rencontrer l’âme soeur. Mais elle a trouvé son bonheur, comment pourrait-on lui en tenir rigueur?

Cette quête de l’empreinte écologique minimale, la famille Chameides l’a menée à son terme en réduisant au maximum sa production de dêchets: depuis un peu moins d’un an, Dave Chameides et sa famille entassent leurs ordures dans leur cave. Et recycle autant que faire se peut. Allez lire leur blog, ça vaut le déplacement. On y apprend plein de trucs sympa, comme le scrapbooking à base de papiers d’emballage, ou comment polluer moins en utilisant de l’huile végétale au lieu de bougies à Hanouka. Ou réutiliser l’emballage des chips pour emballer les sandwichs. Ou encore le jour où il a décidé d’arrêter le dentifrice

Alors après ça, si Jeremy et ses potes de Verteego m’invitent au restaurant, je saurai à quoi m’attendre…

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