9e vague

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Il paraît que la 9e vague de covid en France est en train de se calmer. Il était temps. Parce qu’on l’a sentie passer, chez les Kabla. Presque tous y sont passés. Avec force toux, fièvre, frissons et maux de gorges. Rien de grave, c’est juste comme une grosse grippe, ultra-contagieuse. Et un peu handicapante, les quintes de tous la nuit, ça nuit au sommeil réparateur…

Vous la voyez la 9e vague ?

Personnellement, c’était mon second covid. Après trois doses de vaccin et un covid l’an passé à la même période, c’est quand même assez étonnant. Je pensais pouvoir passer au travers des différentes vagues, mais non. Les vaccins sont-ils assez efficaces ? Ou bien le covid prend-il des formes différentes cette année encore ?

Pas de pic de covid au Qatar pour l’instant…

Apparemment, il n’y a pas qu’en France que ça tousse et c’est normal, c’est l’hiver. Grippes, rhumes, angines, sont au rendez-vous. Espérons néanmoins que l’équipe de France sera préservée de cette nouvelle vague. Plusieurs jours auraient déjà été touchés par un virus, Adrien Rabiot et Dayot Upamecano n’avaient pas joué la demi-finale (que j’ai regardée masqué, sous une couverture, la tête dans le brouillard). Hier, c’était au tour de Raphaël Varane et d’Ibrahima Konaté, annoncés fiévreux. Sans parler de deux autres joueurs, Aurelien Tchouameni et Theo Hernandez, absents à l’entraînement pour cause de blessures en voie de guérison. Le staff se veut rassurant, mais des millions de supporters sont inquiets.

Et je suis sûr que du côté des supporters argentins, ça pavoise.

Que se passerait-il si la majorité des joueurs d’une des équipes qualifiées en finale étaient malades ? La finale serait-elle reportée ? L’autre équipe serait-elle déclarée gagnante par forfait ? Ce serait la finale la plus triste de l’histoire de la Coupe du monde de football.

Allez, on reste confiant. Doliprane pour tout le monde, douze heures de sommeil, une bonne dose de Guronsan au réveil, et rendez-vous à 16 heures pour rentrer dans l’histoire…

Ou maudire la 9e vague.

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