Black Mirror

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Sur les conseils de quelques amis sur Facebook, j’ai commencé à voir la série Black Mirror. Et je dois reconnaître que je n’ai pas été déçu par les deux premiers épisodes. Si je devais mesure la qualité d’une série à la surprise que provoque le scenario du premier épisode, je crois n’avoir pas vu de série aussi bien imaginée depuis … 24 heures chrono, dont le premier épisode m’avait scotché, tant il était différent de tout ce qu’on avait pu voir jusque là sur nos écrans de télévision.

Je ne vous dévoilerai bien entendu pas la trame de ces deux premiers épisodes de Black Mirror. Tout au plus vous dirai-je que le premier traite de médias, de politique et de réseaux sociaux, quand le second évoque plutôt le mode de vie auquel nous risquons d’aboutir à force de passer notre vie sur nos écrans. Attention, au vu des thématiques des deux premiers épisodes, cette série n’est pas pour tout public.

La qualité de ces deux épisodes repose sur un principe similaire. Les deux histoires n’ont aucun rapport entre elles – j’ai l’impression qu’on est plutôt dans l’univers de la série d’histoires fantastiques qui passaient à la télévision le samedi soir au début des années 80 – mais sont toutes les deux des extrapolations de nos univers actuels. C’est une sorte de satire sociale mâtinée de science-fiction. Et c’est fichtrement bien conçu. Que se passerait-il si on allait jusqu’au bout de nos comportements absurdes actuels, et si nous finissions par devenir esclaves de la technologie?

Seul petit bémol, les dernières secondes de chaque épisode de Black Mirror – essentiellement celles du génériques – sont perdues lorsqu’on regarde a série depuis son compte Netflix à partir d’une livebox. Il m’a fallu passer sur un autre écran connecté à Netflix pour vérifier que je n’avais rien manqué. Surprenant, non?…

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