Email diamant

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La chasse à l’email a démarré. On en parle chez Bertrand, et bien entendu, sur le blog de blueKiwi. Les griefs sont sérieux:
  • l’email ne permet pa sla collaboration élargie
  • l’email est à l’image de son auteur, comme le chien est à l’image de son maître
  • l’email est une source de vulnérabilité
On pourrait en rajouter:
  • l’email occupe un temps de lecture disproportionné et gêne la réflexion
  • l’email encombre les disques durs (ah les Giga octets encombrés d’emails inutiles…)
  • l’email plante parfois…
  • l’email abreuve plus qu’il n’étanche
Pourtant, l’email est à l’image de son ancêtre, le mail (ou courrier en français): un outil indispensable, au sens premier: on ne saurait s’en dispenser. Vous imgineriez-vous sans boîte aux lettres? A fortiori aujourd’hui, sans adresse email? Allons donc. Bertrand et Carlos, les premiers, doivent bien posséder chacun deux ou trois adresses email…
Alors pourquoi cette chasse à l’email?
Ce qu’il faut combattre, c’est l’usage incorrect de l’email, et non l’email lui-même. Moi, j’aime bien recevoir des invitations par la poste. Je conçois aisément que la poste reste également le meilleur moyen pour recevoir des factures (tant que l’email ne le permet pas). Et me réjouis de pouvoir écrire à quiconque, dès que je connais son adresse. C’est la même chose avec l’email.
En revanche, lorsqu’un mesage doit être délivré de manière urgente, j’utilise un téléphone. Et lorsque je veux avertir mes voisins que je vais fêter mes 40 ans, je pose une affichette dans l’ascenseur, sans leur envoyer un courrier par la poste. Tout est question, en somme, d’usages. D’habitudes. Et d’efficacité.
Au fait, Carlos et Bertrand, à quand un billet sur les SMS inutiles?…

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