Annie Cordy

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Avec Carlos et Pierre Perret, Annie Cordy fait partie du petit groupe de chanteurs et de chanteuses qui illuminèrent les premières années télévisuelles de ma famille. Je me souviens de ses chansons iconoclastes, de La bonne du curé à Tata Yoyo, sans oublier Cho Ka Ka O, vers le milieu des années 70, et des interprétations qui me paraissaient, à l’époque, déjantées…

C’était une époque où les chansons destinées à un public enfantin n’étaient pas encore enrobées de la mièvrerie si caractéristiques des années Chantal Goya, et où les paroles pouvaient parfois être interprétées à plusieurs niveaux, sans forcément choquer qui que ce soit. Une époque, hélas, bien révolue.

Les plus anciens se souviendront aussi d’autres chansons, adressées à un public plus large, qui firent connaître cette chanteuse qui débuta sa carrière dans des revues, comme Hello, le soleil brille, brille, brille, ou Cigarettes, whisky et p’tites pépées.

Bye bye tata Yoyo.

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