Thierry Ardisson

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Être amené à parler deux fois de Ardisson la même année, c’est déjà beaucoup. J’ai déjà dit que je n’aimais pas beaucoup le bonhomme, et j’ai plutôt tendance à considérer son apport à la télévision moderne bien moindre que ce qu’en dit Catherine Barma. Bref, pour ceux qui seraient intéressé par un développement plus approfondi de son parcours, et de ses dernières avanies, prière de se reporter à cet article là.

Ceci étant, tirer sa révérence le 14 juillet quand on se définit comme royaliste – ce qui signifie, en d’autres termes, qu’on n’a aucun avis intelligent en matière de politique intérieure – cela ne manque pas de panache. Pour le reste, les aficionados de ses formules chocs et de son goût immodéré pour la provoc pourront se délecter des hommages que la télé publique nous livrera, à n’en pas douter, dans les prochains jours.

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